RP ; demande en mariage

Azael songeait depuis un bon moment déjà à cet instant il avait le front prit de sueur, un nœud dans l’estomac et tremblait de partout.
Il se leva de sa chaise et pris la direction de la porte, il traversa toute la forêt de nuit malgré les bruits stridents qui s’échappait des arbres.
Azael s’avança jusqu’à la hutte ou résidait Xerinià depuis déjà un moment.
Il y toqua et attendit qu’elle vienne ouvrir…
Xerinià était stupéfaite de le voir à sa porte aussi tard, le soleil était déjà couché depuis bien longtemps et les étoiles scintillantes des terres Alidhannaise avait prises place dans le ciel.
Azael avait le souffle coupé, la beauté de Xerinià l’éblouissait. Il l’observait souvent lorsqu’elle combattait les Esprits de Borgovil aux ruines. Ses projectiles étaient d’une force redoutable elle les maniait d’une dextérité absolue.
Ses yeux de couleur ambre étaient magnifiques ainsi que ses cheveux d’ébène. Elle avait aussi un parfait nez aquilin, des lèvres pulpeuses et un corps de rêve.
Azael bégaya, ne sachant quoi dire il posa un genou à terre et dit :
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Il sortit une petite boîte en bois de sa poche l’ouvrit et en sortie une bague sertie de diamant.
Azael se tenait maintenant agenouillé devant Xerinià attendant sa réponse.

Xerinià, perplexe devant ces mots, ne savait pas quoi répondre. Son cœur battait comme jamais, elle n'avait pas encore vécu cela. Ses yeux brillaient devant la splendeur de la bague tendue par Azael. Elle sentait la chaleur que le bel archer rejetait, tendu, il attendait la réponse avec tant d'impatience. Elle en tremblait. La magicienne commença à rougir. Azael était si beau, si séduisant... Xerinià lui répondu tout en bégaillant

Tu es si splendide ce soir, j'avais déjà eu des sentiments pour toi auparavant, mais je n'ai pas osé t'en faire part... Je ne vois pas comment refuser... Je t'aime.

Xerinia, devenait de plus en plus rouge, et laissa la parole à son brillant archer.

Azael enfin soulagé se releva et regarda fixement maintenant sa bien aimée.
Il prit la bague qui brillait de mille feux et la passa au doigt de Xerinià, resplendissante.
L’instant ne sut tarder, il l’enlaça dans ses bras musclé et l’embrassa fougueusement pendant un bon moment, puis la relâcha de son étreinte. Et dit :

Tu es la femme de mes nuits je veux passer tous les jours de ma vie avec toi.
Je t’aime.

Azael la porta dans ses bras et l’amena jusqu’à sa chambre ou il l’embrassa à nouveau, la dévêtit puis lui fit l’amour toute la nuit en lui disant continuellement des mots doux…

Je t’aime…

Le lendemain matin je me réveillai toute ébouriffé les cheveux mal lissé a cause de la nuit, elle partit a la fontaine pour se mouillé le vissage et les cheveux. En revenant de la fontaine Xerinià réveilla Azael de la longue nuit que nous avons vécue. Après avoir mangé des crânes de sanglier et de la salade au chamalla partir tout les deux en excursion dans la belle forêt de Romor, à cet instant précis nous nous sommes rapprochés près d'un arbre tout les deux côte à côte, ainsi Azael continua ...

Azael et Xerinià se tenaient debout l’un contre l’autre, Azael la prit par la taille pour une magnifique photo dans la Forêt profonde de Nedmor lorsqu’un Royaliste vint interrompre cet instant magique.
En colère je plaçai déjà une flèche sur mon arc tandis que Xerinià matérialisé un projectile magique. Je tirai la corde jusqu’à ma joue et lâcha la flèche qui partait à une vitesse folle en pleine tête du Royaliste suivi du projectile dégageant une aura incroyable qui foudroya le torse du jeune mage de plein fouet. Le jeune magicien Royaliste n’eut surement même pas le temps d’inspirer qu’il était déjà en présence de notre ami à tous, Raymond.

Et puis ensuite nous avons enfin put faire cette splendide photo :


Nous nous sommes ensuite rendus chez Bamou notre ami transporteur du Vallon de Far.
Azael descendu de la roulotte du transporteur suivie de sa bien aimée sur Merulik. Nous nous rendirent ensuite à la Vallée de Ceth 1 et 2 ou nous avons tués quelques cartellois… Puis Azael pris Xerinià par la main et l’emmena aux Ruines de Borgovil ou il l’embrassa d’un tendre baiser…